4 août 2007
Au revoir ma chérie.
Les « au revoirs » de Bérengère
Ont toujours un parfum d’adieu,
Entre ses bras elle me serre
Depuis qu’il a fermé les yeux.
Nos regards se croisent et se terrent
Ils réclament clémence des cieux
C’est « se revoir » que l’on espère
Depuis qu’il a fermé les yeux.
Un jour elle a quitté un frère
Un ami, cousin gracieux
Pensait pas la vie éphémère
Pourtant il a fermé les yeux.
Elle en a voulu à sa mère
Qui a caché sort malicieux
Ne croit plus aux fées, aux chimères,
Depuis qu’il a fermé les yeux !
Alors, pour me quitter, elle peine
Ses au revoirs sont des adieux
Précarité de l’âme humaine :
Qui, dans l’instant, s’élève aux cieux !
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